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Influencé par le street art mais aussi par le tatouage, Bur évolue au sein d’une génération qui approche l’art dans sa dimension la plus large. Promoteur d’une nouvelle manière de penser, de partager le travail de création, il valorise un mode d’expression où les techniques se mélangent, les espaces se multiplient, rompant parfois avec les codes établis. Son univers graphique coloré reste cependant unique.
PEC est entré dans l’univers du graffiti depuis presque 30 ans, mais son objectif reste le même : « apporter de la joie » aux passants.
C’est sa manière d’exprimer ses émotions dans le milieu urbain. Il ne faut pas sous-estimer le pouvoir de ses dessins enfantins et colorés.
Ce sont des messages adressés au grand public pour faire rire les gens. Les Lyonnais connaissent très bien le style ludique de PEC. En réalité, son ambition a toujours été d’apporter de la couleur et du sourire sur le visage des habitants et des touristes. Sa signature est présente presque partout dans la ville, au détour d’une autoroute ou encore au coin d’une rue. Pour lui, la ville reste une galerie d’art pour exposer le « Knar », le personnage limpide, facilement reconnaissable et qui donne le sourire. On le reconnaît par son air ahuri trimbalant ses ailes courtes, ses yeux qui louchent partout à Lyon.
Les graffs de PEC décorent le paysage urbain lyonnais et attirent l’attention des amateurs de drôles d’oiseaux colorés.
Jakè finit ses études aux Arts Appliqués en 1990. Après de longues années de recherche de style, de développement graphique et de pérégrinations créatives, il se consacre pleinement à son activité d'artiste peintre à partir de 2003.
Sa démarche généreuse, colorée et vivante, se rapproche des aspects techniques, symboliques et spontanés de la Figuration Libre et du Street Art.
Basé sur l'utilisation du Posca et de l'acrylique, son travail de création
s'exprime sur toutes sortes de supports et dans des environnements très variés: principalement sur des toiles ou des objets de récupération dans son atelier, mais aussi en milieu urbain sur des murs, des palissades, des rideaux métalliques, des cages d'ascenseur et même des voitures !
Bien que très vite appelé à la réalisation de vitrines à Paris, de visuels pour l'impression textile et de pochettes de disques, sa vraie passion reste la peinture… Ce boulimique pictural confie : « Je ne sais pas m'arrêter, c'est sans doute pour cette raison que je peins souvent les bords des tableaux.
Mon travail cadré, structuré, et le style qui en découle s'appuie sur les détails et les émotions qu'elles suscitent… 14 couleurs jamais mélangées, un aspect sérigraphie in fine, pas de matière ou peu, juste des points de vue et des reliefs graphiques…»
Bien que la toile de grande dimension soit son support de prédilection,
il passe allègrement à des formats supérieurs type murs peints et/ou bâtiments…
Il fait sa première exposition personnelle à la galerie Villain à Paris en octobre 2011.
En 2019, Jakè a été en résidence pendant un mois à la fédération du BTP Rhône et Métropole.
JMute tient sa passion de son grand père, Gabriel Gouttard, dessinateur sculpteur. Cet artiste dessine depuis son plus jeune âge. Il a été bijoutier ce qui lui a permis de rentrer dans le monde de l’artisanat d’art. JMute est un orfèvre. Ces finitions sont précises. JMute fait vivre son personnage au fil de ses émotions. A découvrir….
Don Mateo, né dans le début des années 80, il grandit avec la culture hip hop et se passionne très rapidement pour le graffiti.
En 2003, il rejoint les Beaux Arts de Besançon puis la Facultad de Bellas Artes de Cuenca en Espagne… L’art ne devait plus jamais le quitter désormais ! En 2010, Don Mateo s’installe à Lyon et en fait son nouveau terrain de jeux. Très vite, il revêt les murs des villes de ses fameux portraits : des anonymes qui interpellent par l’émotion et l’énergie qu’ils insufflent. Son leitmotiv, son ambition, ce qui l’anime ? : «Agir comme antidépresseur urbain et questionner la peinture! »
Tel Zorro et son épée, c’est à la pointe de son scalpel qu’il trace ses lignes pour créer l’émotion, la surprise et ainsi révéler le vide et sculpter la lumière à travers les regards qu’il saisit. Il bouscule les codes de l’urbain pour partager son regard sur le monde et contredire le mouvement avec ce style unique qui lui est propre. Le portrait est un prétexte pour traiter des problématique de la peinture (la figure, la ligne , la lumière). C’est en oscillant entre peinture et sculpture que ces portraits prennent sens. Il révèle la fragilité de notre existence avec subtilité, poésie et un certain brin de malice. «Je m’inspire de la vie en générale et puis je fais selon mes envies … Mes pièces sont parfois engagées mais ce n’est pas de l’activisme. C’est plutôt une expression, un regard sur un sujet. Je suis plus tourné vers l’art, donner un message pour dénoncer entraîne vite dans l’illustration, dans le quotidien… Je préfère toucher à des notions de poésie, de choses qui nous échappent, tendre vers un ressenti…».